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| Auteurs | Dionnet, Johann (Réalisateur) Graffin, Benoît (Scénariste) Magnin, Francis (Scénariste) (Compilateur) Wheeler, Alison (Compilateur) Salem, Lyès (Compilateur) Erka, Elisa (Compilateur) de Crayencour, Amaury (Compilateur) Burnel, Matthieu (Compilateur) Carrelet, Constance (Compilateur) Torregrossa, Sebastien (Compositeur) |
| Illustration | coul., sonore |
| Format | DVD vidéo |
| ISBN | 3512394012752 |
| Prix | 39.61 |
| Langue Edition | français |
| Langue Origine | français |
| Sujets | France acteur (comédien)autofictionfestivalMensongequiproquoRelation homme-femmeromance (histoire d'amour)Théâtre.théâtre classiqueThéâtre de boulevardtroupe Avignon |
| Liens | Lien 1 Lien 2 |
| Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 5 | |
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Résumé : Résumé : Comédien en perte de vitesse, Stéphane débarque avec sa troupe au Festival d'Avignon pour jouer une pièce de boulevard. Il y recroise Fanny, une comédienne de renom, et tombe sous son charme. Profitant d'un quiproquo pour se rapprocher d'elle, Stéphane s'enfonce dans un mensonge qu'il va devoir faire durer le temps du festival... mais qui va très vite le dépasser ! Bonus : Court métrage : "Je joue Rodrigue" de Johann Dionnet (2022, 24')
Notes : Prêt consultation
Sous-titres en français pour sourds et malentendants.
Format(s) Vidéo : 16/9, 576i, couleurs
Format(s) audio : Dolby Digital 5.1, Dolby Digital
Année de réalisation : 2025
16 ans et plus
Grand Prix, Prix Coup de coeur des Alpes, Prix Canal du meilleur film, Festival international du film de comédie de l'Alpe d'Huez, France, 2025
C'est ici toujours avec tact que la relation amoureuse entre Stéphane et Fanny (Elisa Erka, une vraie révélation) est développée, faisant finalement porter sur le mensonge par omission initial, une intention plutôt noble. Et la comédie prend aisément son envol, grâce à des personnages secondaires parfaitement calibrés. - Abus de Ciné - Olivier Bachelard
Tel le Montesquieu des Lettres persanes, Johann Dionnet partage son regard aiguisé sur le plus grand rendez-vous de théâtre du monde, mais privilégie la comédie. Il a raison. - Le Figaro - Nathalie Simon
Le film, baigné de lumière estivale et d'une douce mélancolie, oppose avec finesse théâtre populaire et tragédie noble. Mais c'est surtout une déclaration d'amour au jeu, à l'illusion, et à la ville d'Avignon, qui devient le décor enchanté d'un amour naissant, porté par la poésie de Corneille et la sincérité des coeurs. - La Croix
Une comédie rafraîchissante qui, placée sous la double tutelle du vaudeville et de la romance, cherche à réconcilier théâtre chic et scène populaire. L'ensemble est servi par des interprètes au diapason. - Les Fiches du Cinéma - Simon Hoareau
Tout va très vite, impossible de s'ennuyer, le script malin et à l'os refusant les scènes de transition que certains réalisateurs considéreraient comme essentielles. - Première - François Léger
Le film s'amuse du snobisme de ce milieu fracturé en deux familles peu perméables qu'il tente de faire communiquer : théâtre privé contre théâtre public, divertissement contre créations plus élitistes. Par le travestissement du faux, chacun tente d'approcher une vérité qui éclôt ici d'abord par le plaisir de jouer ensemble. - Le Monde
Notes : Prêt consultation
Sous-titres en français pour sourds et malentendants.
Format(s) Vidéo : 16/9, 576i, couleurs
Format(s) audio : Dolby Digital 5.1, Dolby Digital
Année de réalisation : 2025
16 ans et plus
Grand Prix, Prix Coup de coeur des Alpes, Prix Canal du meilleur film, Festival international du film de comédie de l'Alpe d'Huez, France, 2025
C'est ici toujours avec tact que la relation amoureuse entre Stéphane et Fanny (Elisa Erka, une vraie révélation) est développée, faisant finalement porter sur le mensonge par omission initial, une intention plutôt noble. Et la comédie prend aisément son envol, grâce à des personnages secondaires parfaitement calibrés. - Abus de Ciné - Olivier Bachelard
Tel le Montesquieu des Lettres persanes, Johann Dionnet partage son regard aiguisé sur le plus grand rendez-vous de théâtre du monde, mais privilégie la comédie. Il a raison. - Le Figaro - Nathalie Simon
Le film, baigné de lumière estivale et d'une douce mélancolie, oppose avec finesse théâtre populaire et tragédie noble. Mais c'est surtout une déclaration d'amour au jeu, à l'illusion, et à la ville d'Avignon, qui devient le décor enchanté d'un amour naissant, porté par la poésie de Corneille et la sincérité des coeurs. - La Croix
Une comédie rafraîchissante qui, placée sous la double tutelle du vaudeville et de la romance, cherche à réconcilier théâtre chic et scène populaire. L'ensemble est servi par des interprètes au diapason. - Les Fiches du Cinéma - Simon Hoareau
Tout va très vite, impossible de s'ennuyer, le script malin et à l'os refusant les scènes de transition que certains réalisateurs considéreraient comme essentielles. - Première - François Léger
Le film s'amuse du snobisme de ce milieu fracturé en deux familles peu perméables qu'il tente de faire communiquer : théâtre privé contre théâtre public, divertissement contre créations plus élitistes. Par le travestissement du faux, chacun tente d'approcher une vérité qui éclôt ici d'abord par le plaisir de jouer ensemble. - Le Monde
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